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Le chat obscur, secondant discret de cette scène, se redressa et sauta sur le rebord de la fenêtre, son regard fixé sur l’obscurité extérieure. Il savait, lui entre autres, que cette nuit était encore loin d’être finie. L’homme se leva, lissant machinalement les plis de son manteau premier plan de encourager un dernier regard poétique la table où les cartes venaient de détacher. Lorsqu’il ouvrit la porte, l’air moderne de la nuit s’engouffra légèrement dans la pièce, apportant avec lui l’odeur humide de la ville endormie. Il resta un moment irrévocable, à savoir s’il hésitait à franchir à neuf le bornage, puis il disparut dans la ruelle silencieuse. Marianne ne le suivit pas du regard. Elle savait que l’empreinte de cette consultation au telephone l’accompagnerait correctement largement au-delà de cette nuit, que les caractères qu’il venait d’apercevoir poursuivraient leur boulot en silence. 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Ses main tremblèrent doucement lorsqu’elle toucha les cartes, message d’une émotion enfouie prête à resurgir.